revue de presse

Bon étant donné la popularité de ce style de message qui dénature le propos du loundge de l'ocle tape. Voici un sujet pour poster les artcles de journaux ou faits divers drôles. Les wikifacts inutiles venant de wikipedia sont fortement sollicités.





Le lundi 10 septembre 2007


Un voleur s'en prend à un aveugle... champion du monde de judo

Agence France-Presse

Giessen, Allemagne

Un jeune homme a tenté samedi à Giessen de dérober une cartouche de cigarettes à un non-voyant. Mal lui en a pris: la victime n'était autre qu'un ancien champion du monde de judo.

Ayant à peine eu le temps d'asséner un coup au visage de la victime en apparence fragile et sans défense, le voleur s'est retrouvé projeté au sol, d'après la police.

Le jeune voleur ne savait de toute évidence pas qu'il avait affaire à l'ancien champion du monde de judo catégorie non-voyant.

Le handicapé de 33 ans a maintenu l'individu ébahi au sol jusqu'à ce que la police, appelée au secours, arrive sur les lieux.




ne vous en prenez jamais à un aveugle.

Le mardi 11 sept 2007


Une Égyptienne obtient le divorce pour «odeur nauséabonde»

Agence France-Presse

Le Caire

Une Égyptienne ne supportant plus l'«odeur nauséabonde» de son mari est parvenue à obtenir le divorce après avoir convaincu un tribunal de son calvaire quotidien, rapporte mardi le quotidien Al-Akhbar.

Malgré les adjurations de son épouse, l'homme, un enseignant de 39 ans, se refusait obstinément à se laver, boycottant savon et dentifrice.

Désespérée par l'«odeur nauséabonde» se dégageant en permanence de son mari, l'Égyptienne de 37 ans a refusé toute tentative de conciliation du tribunal familial d'Héliopolis, dans la banlieue du Caire.

Le président du tribunal n'a pu que prononcer le divorce.

je penses que benji a prit gout aux insolites et potins de cyberpresse.ca...

juste un petit fait cocasse comme sa...je viens dentendre le meilleur nom pour une equipe de soccer

snakes on a field.


maintenant un petit wikifact pour les amateurs de dirty dirt.

DJ Screw died of a heart attack in 2000.[1] His cause of death was rumored in the media to be either a codeine overdose or merely the result of long-term buildup of codeine in his system.

what you know bout dj skrew
what you know bout purple drank
what you know bout poppin trunk
what you know bout texas tea

you dont know nothing about dj screw.

Le jeudi 13 septembre 2007


En prison pour avoir écrasé du piment sur le sexe de sa compagne

Agence France-Presse

Le Havre, France

Un Congolais de 30 ans soupçonné d'avoir écrasé du piment sur le sexe de sa compagne pour soi-disant éloigner les mauvais esprits a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel du Havre, en France, à huit mois de prison ferme.




L'homme qui comparaissait dans le cadre de la comparution immédiate a expliqué à la barre que, dans son pays, apposer du piment sur le clitoris de sa compagne favorise une vie sexuelle épanouie.

La justice à quant à elle assimilé cet acte à une torture compte tenu de la violente douleur causée à la victime et de la brûlure qui en a résulté.

L'auteur présumé des faits qui réside en France depuis plus de vingt ans a été condamné à 18 mois de prison dont dix avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans. Il a été écroué au Havre.

Le lundi 17 sept 2007


Un Chinois décède après trois jours devant Internet

Agence France-Presse

Pékin

Un homme d'une trentaine d'années est décédé samedi dans un café internet de Canton (sud de la Chine) après avoir joué en ligne sans interruption durant trois jours, rapporte lundi le quotidien Les Nouvelles de Pékin.

«Selon les premières constatations, le fait qu'il soit resté longtemps à surfer sur internet est sûrement la cause de la mort, ce qui a provoqué une défaillance cardiaque», a déclaré un secouriste, cité par le quotidien.

Les secours n'ont rien pu faire lorsqu'ils sont arrivés.

L'homme, d'allure robuste et «qui n'avait aucune blessure apparente», selon un témoin, se serait subitement évanoui devant son écran samedi après-midi.

Le soir même, le café a rouvert ses portes après le mouvement de panique qui avait fait fuir les centaines d'internautes présents sur les lieux dans l'après-midi.

Hahaha benj. Tu t'imagines la scène. Tu joues à côté d'un Chinois pis il meure subitement. ouf. Penses-tu qu'il était obèse?

Le mercredi 19 septembre 2007


Préjugés tenaces contre les obèses, y compris chez les enfants


Agence France-Presse

Berlin

Les adolescents de 10 à 15 ans nourrissent de tenaces préjugés contre les obèses de leur âge, qu'ils imaginent paresseux et peu intelligents du seul fait de leur surpoids, révèle une étude publiée cette semaine en Allemagne.

«Les enfants obèses sont considérés comme les moins sympathiques, ceux avec qui on a le moins envie de jouer», résume Ansgar Thiel, professeur à l'Institut des Sciences du sport de l'Université de Tübingen, qui a conduit l'étude intitulée «Stigmatisation des enfants et adolescents obèses par leurs camarades du même âge».

Les 454 jeunes de 10 à 15 ans - 230 filles, 224 garçons - ayant pris part à cette étude se sont vu présenter six photos, représentant un garçon et une fille de poids «normal», un garçon et une fille de poids «normal» en fauteuil roulant, et un garçon et une fille obèses. Parmi ces six enfants photographiés, les sondés devaient dire, entre autres, qui leur semblait le (ou la) plus intelligent, le (ou la) plus beau, le (la) plus paresseux.

Résultat: le garçon ou la fille obèses ont été désignés comme le plus paresseux par 95% des sondés. Les deux tiers des jeunes ont désigné le garçon en surpoids comme le moins intelligent du panel présenté. Et près de 70% ont indiqué que ce même garçon obèse était le moins beau parmi les six personnes.

Ces données confirment «de manière effrayante», selon les auteurs, les résultats de précédentes études menées aux États-Unis, mais sur des adultes uniquement. Dans les années 1950, a souligné M. Thiel, le surpoids n'était pas encore lié à des préjugés sur les performances des gens.

Mais «aujourd'hui, le mot-clé c'est le fitness, un effort que l'on fait sur soi-même. Du coup, on pense que les gros ne sont pas prêts à faire des efforts et on les considère comme des fainéants», explique-t-il.

Kanye West's 'Graduation' bests 50 Cent's 'Curtis'


John Smock / Associated Press
Kanye West's "Graduation" had the best-selling debut week in more than two years.
They combine with Kenny Chesney to sell 2 million copies.
By Todd Martens, Los Angeles Times Staff Writer
September 20, 2007
KANYE WEST'S "Graduation" and 50 Cent's "Curtis" arrived last week with a hype that matched Oscar De La Hoya's May prizefight with Floyd Mayweather Jr. That battle went 12 rounds. In the hip-hop showdown, however, West won in a rout.

West's "Graduation" sold 957,000 copies, easily surpassing the 691,000 copies sold by "Curtis," according to Nielsen SoundScan. West's total is the highest first-week sales for an album in more than two years, when 50 Cent's sophomore effort, "The Massacre," opened with 1.1 million copies in March 2005, the last album to reach the seven-figure mark.

Not since 1991 have two albums registered first-week sales of more than 600,000 copies in the same week. "Graduation" accounted for one out of every 10 albums sold in the U.S. last week, as Billboard puts overall album sales at 9.16 million, up almost 24% from the previous week's record low total of 7.4 million.

Combined, the two releases also breathed some much-needed life into hip-hop sales, which were down more than 30% for the first half of 2007 compared with a year earlier. The genre is declining at a rate faster than the beleaguered music industry as overall album sales trail those of 2006 by about 14%.

West bucked the general trend further by improving his first-week sales this time out. "Graduation" sold 11% more than his "Late Registration" tallied in 2005, with 860,000 copies. First-week sales for "Curtis" are down 40% from those of "The Massacre."

50 Cent vowed to retire as a solo artist if West outsold him but also qualified his wager, saying he'd follow through only if West's second-week sales dropped less than 70%. So the other shoe awaits.

Brett Wickard, who owns the 10-store Bull Moose chain based in Portland, Me., credits West's feat to his ability to incorporate other genres into his sound, working with rock composers such as Jon Brion on "Late Registration" and sampling electronic faves Daft Punk on current single "Stronger." "People want artists to push the boundaries," Wickard says. "Kanye did more of that than 50 Cent."

Not to be forgotten in the West vs. 50 Cent hullabaloo is country superstar Kenny Chesney, whose "Just Who I Am: Poets & Pirates" was once seen as a dark-horse contender for the top spot. It entered at No. 3 after selling 387,000 copies.

The three albums sold a combined 2.03 million copies, a rarity in today's music climate. Indeed, that number comes close to matching the 2.08 million CDs sold by the entirety of the Top-200 albums last week. Still, total album sales for the week trailed those of the same week last year by nearly 9%.

"We have yet to have a single week where album sales are up over the same week last year," said Billboard magazine's director of charts, Geoff Mayfield. "Yet the gap has narrowed, from 20% in January to about 14.3% this week."

"Last week was all about the hype, and [West and 50 Cent] did better than they would have done if they had come out on their own," says Andrew Gyger, a senior music product manager with the Virgin Entertainment Group. "It was kind of a blip. I'm not expecting sales to continue at that level."

Perhaps not, but the industry's fourth-quarter sales push is now in full gear. Next week's battle for No. 1 will see West and 50 Cent vying to hang on at the top against albums released Tuesday by Reba McEntire, who has a group of star-studded duets -- rapper Chamillionaire, Barry Manilow (whose collection set a presales record on the QVC shopping channel) and James Blunt, on his sophomore outing.

l'article des enfants obeses est fuuuucking drole....cest vrai qu'ils sont stupides ces obeses! bande de gros caves!

Le vendredi 21 sept 2007


Le cambrioleur était nu

Agence France-Presse

New York

Un homme de 24 ans arrêté en Pennsylvanie a reconnu avoir tenté un cambriolage dans le plus simple appareil, avec rien d'autre qu'un chapeau sur la tête, afin de lutter contre «l'ennui», ont rapporté les médias locaux.

La police était en train d'interroger Carl Wagner, conduit dans un commissariat pour une affaire distincte d'attentat à la pudeur, lorsqu'elle a reconnu en lui un cambrioleur filmé par des caméras de surveillance dans un magasin d'alimentation.

«Il avait été dénoncé pour attentat à la pudeur par deux femmes. Il avait été conduit ici sur cette accusation», a dit Thomas Heller, policier à Carbondale, à la chaîne locale de télévision WNEP.

«Nous avons fait le rapprochement, et c'était bien lui» sur la vidéo, a-t-il ajouté.

Wagner a été inculpé de vol, d'obscénité et d'attentat à la pudeur.

L'enregistrement de la caméra de surveillance le montre entrant dans le magasin, cachant son sexe avec sa main, puis se dirigeant vers la caisse. Le caissier a refusé de lui donner quoi que ce soit et a appelé la police.

Le cambrioleur, reparti les mains vides, a comparu tout habillé devant un tribunal. Interrogé sur les raisons qui l'avaient poussé à tenter un cambriolage, il a répondu: «l'ennui».

laisse-toi deux, trois ans benj et cest comme ca que tu vas finir...!

Citation :

aujourd'hui, le mot-clé c'est le fitness

looll , de larticle des obese bahaha

celle-là est pour Martin


Pour rassurer Pascale Picard, Guy A. a dit à Paul Houde: «Dis à Pascale la date de naissance d'une personne qui a souffert sur mon plateau et combien il a de jambes!» Le Doc Mailloux n'a pas dû apprécier.

[...]

On a toujours un coup de coeur inattendu chez Guy A. Hier, ce fut Christian Mistral. C'est lui qui avait l'air le plus sincère de la bande. Il y était pour vendre ses livres, bien sûr. Mais pour moi, il a démontré que la liberté existe encore.

- Louise Cousineau dans La Presse de ce matin

Le mercredi 26 sept 2007


Un pompier forcé de scier le bras d'un homme

Presse Canadienne

Brossard

Un pompier a dû scier le bras d'un jeune homme de 23 ans, sous les ordres d'une urgentologue de l'hôpital Charles-Lemoyne.

L'accident s'est produit à Brossard, récemment.

Selon TQS, les services d'urgences ont été appelés chez Services Matrec pour venir en aide à un travailleur qui s'était coincé le bras gauche dans une machine qui sert à déchiqueter le bois en copeaux.

Devant la situation, les pompiers et les ambulanciers évaluent qu'ils n'ont pas d'autre choix que de sectionner le membre de la victime. Pris de panique, les policiers de Longueuil se rendent même dans un commerce de location d'outils pour réquisitionner une scie sauteuse.

Une équipe médicale de l'hôpital Charles-Lemoyne est appelée en renfort.

Quelque 45 minutes plus tard, l'urgentologue, deux infirmières et un inhalothérapeute sont dépêchés sur les lieux. Le travailleur n'avait pas encore reçu de calmant.

Devant la scène, l'urgentologue aurait donné l'ordre à un pompier de procéder à l'amputation du bras, en haut du coude. Selon la Coopérative des techniciens ambulanciers de la Montérégie, c'était alors une question de vie ou de mort.

En raison de l'infection, une seconde intervention est nécessaire rendu à l'hôpital.

Le travailleur est amputé jusqu'à l'épaule. La scie sauteuse finalement utilisée appartenait au Services des incendies de Longueuil. Les intervenants sont traumatisés.

Les événements, qui se sont produits le 27 août dernier, suscitent un important questionnement au ministère de la Santé. On indique que chaque hôpital doit avoir une valise d'outils spécialisés et stérélisés prêts à servir dans de telles
circonstances.

Les pompiers de Longueuil et l'Agence de la Santé de la Montérégie ont refusé les demandes d'entrevues, prétextant une enquête interne. La CSST aussi procède à une investigation.

Le vendredi 05 octobre 2007


Un paon gai en rut agresse sexuellement une voiture bleue

Agence France-Presse

Londres

Un aristocrate britannique excentrique a mis en garde les visiteurs à l'entrée de sa propriété: un paon en rut a agressé sexuellement une voiture bleue, sans doute confondue avec un congénère, lui infligeant d'importants dégâts matériels.

Sir Benjamin Slade a mis une pancarte à l'entrée du parking de Mansel House, sa propriété de 520 hectares dans le Somerset où la Lexus «bleu paon» d'un de ses employés a subi les assauts vigoureux de l'oiseau. Montant des dégâts, rayures et bosses: 4000 livres (environ 8000 $ CAN), pour lesquels Sir Benjamin tente d'obtenir un remboursement des assureurs, a rapporté vendredi la presse.

«Tout a commencé quand il est tombé amoureux de cette Lexus, d'un bleu caractéristique des paons et qui ressemblait donc à un autre paon garçon», a expliqué l'aristocrate. «Il ne pouvait contrôler ses pulsions alors il a essayé de la monter: il s'est attaqué aux ailes avec une telle vigueur qu'il faut repeindre tout un côté».

Bien sûr, «les assureurs ne sont pas très contents», reconnaît-il. «Ils ont eu des plaintes de toutes sortes, par exemple des lions qui mordent des gens, mais ils n'avaient jamais entendu parler d'un paon qui agresse sexuellement une voiture», relève Sir Benjamin.

Le propriétaire du domaine de Mansel House trouve tout de même quelques circonstances atténuantes au paon amoureux. «Il est très frustré, il se sent un peu seul et il voudrait bien jouer au docteur avec les autres paons mâles, mais ça ne les intéresse pas. Les femelles sont brunes, mais il est seulement attiré par les voitures bleues, donc j'en conclus qu'il est gai».

Sir Benjamin avait déjà fait parler de lui lorsqu'il avait proposé que son chien, «gai» également, selon lui, puisse servir de «témoin» lors de mariages homosexuels célébrés dans sa propriété.

Le chien en question, Jasper, a été doté par son maître d'un «fonds» de 150 000 livres (environ 300 000$ CAN) qui fait de lui l'un des animaux les plus riches du royaume.

hehehe jallais la mettre...cest une bonne celle la

Le samedi 13 octobre 2007


Alex Hilton frappe une femme «par réflexe»
Christiane Desjardins

La Presse

L'ex-boxeur Alex Hilton en convient: il a donné un «jab» à Francine Choinière, le 28 juin dernier, dans le secteur chaud du boulevard Saint-Laurent. Mais il soutient que c'était par légitime défense et par réflexe.

«Quand j'ai vu que c'était une femme, j'ai arrêté», a raconté Hilton hier, lors de son procès pour voies de fait et lésions devant la Cour du Québec. Un peu plus tôt, il avait expliqué les circonstances de cette mésaventure qui l'a ramené directement derrière les barreaux, alors qu'il était sorti de Bordeaux la veille.

Selon lui, l'après-midi du 28 juin, il est sagement allé voir son agent de libération conditionnelle, au centre-ville. En sortant, il a faim et va sur le boulevard Saint-Laurent, près de la rue Sainte-Catherine. Il attend en file pour acheter un hot-dog au restaurant Montreal Pool Room, quand une main de femme plonge dans sa poche de chemise et s'empare des 70$ qui s'y trouvent. Hilton voit un type faire signe à la voleuse de se sauver. Il va trouver cet homme et exige son argent. L'autre ne cesse de répéter: «C'est la puff, man, c'est la puff.» Las de cette réponse, Hilton frappe l'homme, qui recule puis avance de nouveau. Hilton frappe une deuxième fois. Après, Hilton sent qu'on lui donne un coup derrière la tête. Son entraînement de boxeur le pousse à se retourner et à frapper très rapidement. Oups! c'est une femme, Francine Choinière, qui a reçu le coup de poing.

Pour sa propre sécurité, précise Hilton, car c'est un secteur où se trouvent des «pimps, des putes et des vendeurs de drogue», il va se réfugier au bar Cléopâtre et commande une bière. Il en boit une gorgée et met la bouteille presque pleine dans sa poche pour s'en servir si on l'attaque. Il sort du bar. Mais la police arrive et l'arrête.



L'autre version



La version de Mme Choinière diffère. Elle raconte que Hilton titubait, sur le boulevard Saint-Laurent, et qu'il invectivait les gens. Il s'est mis à engueuler un type qu'elle connaît. Elle a engueulé Hilton à son tour. Hilton l'a traitée de pute; elle l'a traité de trou de cul. Il l'a frappée et lui a cassé deux dents. Mme Choinière affirme qu'elle n'avait bu qu'une bière ou deux cet après-midi-là. Oui, elle a des antécédents judiciaires pour introduction par effraction et prostitution. Mais c'était il y a 10 ans. Aujourd'hui, elle se dit secrétaire, mais ne peut préciser combien d'heures elle travaille chaque semaine. Des fois, c'est une heure.

Le mercredi 24 oct 2007


Halloween sous-marine

Éric-Pierre Gibeault

La Presse

L'océan a inspiré plus d'une histoire à faire peur à son prochain. On pense entre autres à Jaws, ce (très) grand requin blanc et grand amateur de chair humaine.

On ne compte plus également toutes ces bibittes aquatiques apparues dans des films de science-fiction de série B. Mais celle-là, on n'y avait pas pensé... Un concours de sculpture de citrouilles sous-marine.

Les plongeurs devaient réaliser leur exploit à 30 pieds sous l'eau, au large de Key West, en Floride. Ken Smith a remporté le premier prix.

«C'était loin d'être facile, raconte-t-il. Difficile de sculpter au fond de l'océan une citrouille qui veut flotter.» On le croit sur parole...




tres intereesant...bon probablement la seule personne qui va rire de sa cest fullax...et non ya rien de cacher ds l'article...il n'est tout simplement pas drole et stupide.

JOHN GOTTI WHUUT!!

Court told mob bosses voted on whacking Giuliani in '86

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BY SCOTT SHIFREL and HELEN KENNEDY
DAILY NEWS STAFF WRITERS

Thursday, October 25th 2007, 4:00 AM


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Print Email Suggest a Story

Rudy in 1986

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Gambino boss John Gotti voted to have Rudy whacked.

Bonanno head Philip (Rusty) Rastelli voted to let him live.
The heads of New York's five Mafia families debated whacking Rudy Giuliani at a 1986 sitdown, according to bombshell testimony Wednesday at the trial of a disgraced FBI agent.

Gambino crime boss John Gotti and Colombo head Carmine Persico pushed hard for the hit, but failed to persuade the other three members of the Cosa Nostra commission to okay killing Giuliani, then a mob-busting federal prosecutor.

"The bosses of the Lucchese, Bonanno and Genovese families rejected the idea, despite strong efforts to convince them otherwise by Gotti and Persico," wrote then-FBI Agent Lindley DeVecchio in September 1987, documenting a tip from his mole in the mob.

The memo was read into the record Wednesday in Brooklyn Supreme Court, where DeVecchio, 67, is being tried on charges of helping mobsters plan four murders.

It was part of 600 pages of memos DeVecchio wrote documenting his contacts with Colombo captain Gregory Scarpa from 1980 to 1992.

Prosecutors say the agent went rogue and was funneling information to the mob. The defense used the memos to show the wealth of detailed information Scarpa was giving DeVecchio, information that led to many wiretaps and arrests.

"They should give him a medal," a DeVecchio supporter quipped after the testimony.

The plot to kill the former mayor was discussed in the fall of 1986, Scarpa was told.

That's when Giuliani, then Manhattan U.S. attorney, was prosecuting the famous "Commission" case - which targeted the five Cosa Nostra bosses and crippled the mob in America.

The trial ended in the November 1986 convictions of Persico, Luchese family boss Anthony (Tony Ducks) Corallo, Genovese boss Anthony (Fat Tony) Salerno and five other defendants.

Gambino boss Paul Castellano was whacked before the trial began, and Bonanno boss Philip (Rusty) Rastelli was tried and convicted separately.

The mob's plan to whack Giuliani has previously been reported, notably in a 2002 Daily News article. But Scarpa's claim that the top Cosa Nostra bosses seriously discussed killing him is new.

Giuliani, who rode the Commission case to the mayor's office, often brags about being targeted by mobsters when he's on the stump in the presidential campaign.

"The reality is, I've dealt with this all of my life," he said in a Fox News interview last week. "If you've got to live with threats, you live with threats."

"When I was first U.S. attorney, the Sicilian Mafia offered an $800,000 contract to have me killed. The FBI caught them," he said.

It's a story he tells often, usually adding jokingly that a later contract on his life was "an insult" - because it was for only $400,000.

His campaign had no comment Wednesday on the new allegation and would not say if he knew of the threat at the time.

Among other details that emerged Wednesday from DeVecchio's memos was the solid information Scarpa provided about Castellano's slaying.

One day after the Dec. 16, 1985, hit on Castellano, Scarpa told DeVecchio that Gotti set up the assassination. He said Persico, who knew of the planned hit, neither approved nor disapproved but made no attempt to oppose it.

sshifrel@nydailynews.com

BRÉBEUF LA MAIN DANS LE SAC!!!
L'école est «stone»: le privé n'y échappe pas

Frédéric est issu d'une bonne famille d'Outremont. Il poursuit ses études collégiales à Brébeuf. Ce beau blond deviendra-t-il un homme d'affaires accompli? Pour l'instant en tout cas, il exploite un petit commerce avec succès.

Le jeune homme de 18 ans est l'un des deux revendeurs de drogue rapidement repérés par La Presse au collège Jean-de-Brébeuf, l'un des plus prestigieux à Montréal. Le premier attendait le client à l'extérieur, Frédéric opérait à l'intérieur même de l'établissement du quartier Côte-des-Neiges. Dans la cafétéria du secteur collégial.

Difficile de trouver de la drogue au privé? Deux visites incognito d'une demi-heure, et déjà un rendez-vous était pris pour acheter un demi-gramme de cocaïne.

«Ça consomme beaucoup à Brébeuf, confie Frédéric, en marchant par un beau vendredi d'octobre en direction de la résidence d'un de ses fournisseurs. Je vends sans problème 14 grammes de buzz par jour. Au privé, les gens ont les moyens.»

Le «buzz», c'est le nom en vogue pour désigner le cannabis. Frédéric en passe 60 grammes par semaine, qu'il trimbale en tout temps dans son sac d'école. Pour «le reste», il faut l'appeler un ou deux jours à l'avance. «Je peux dépanner pour l'ecstasy et la cocaïne, dit-il. Et pour le crack, à la limite.»

Frédéric fait directement affaire avec les collégiens. Pour les transactions avec les élèves du secondaire qui partagent le même bâtiment, il dit avoir recours à un intermédiaire d'un an son cadet. Ce serait trop risqué de le faire lui-même, dit-il.

Rien ne sert aux parents de boycotter un collège pour éviter que leur enfant ne consomme de la drogue. Les élèves interrogés dans sept écoles secondaires privées de la région de Montréal sont unanimes: ils savent qui aller voir parmi leurs confrères pour se procurer pot, hasch, et parfois d'autres drogues. Ils connaissent deux, cinq, voire 10 «pushers» au sein même de l'école. Certains gardent la drogue sur eux, mais la plupart fonctionne sur commande.

Prenez le collège Notre-Dame. Des revendeurs achètent de leurs fournisseurs à la station de métro Côte-des-Neiges. Le mardi 16 octobre, les cours étaient terminés depuis 30 minutes. Trois jeunes vêtus de l'uniforme du collège attendaient devant la sortie du métro.

Le téléphone cellulaire de l'un d'eux a sonné. «Il faut que je retire 500$ cash», a lancé l'adolescent de 15 ou 16 ans après avoir raccroché. Peu de temps après, quatre jeunes hommes visiblement plus âgés débarquaient, venus leur apporter un sac de plastique bleu. Poignées de main, et tous se sont engouffrés dans le métro.

Des activités risquées

«On voudrait tout prévenir, tout voir, tout empêcher, mais on ne peut pas, a affirmé le secrétaire général du collège Notre-Dame, Vincent Grégoire. Si c'est vrai (cette anecdote), j'espère pour ces jeunes-là que c'était une erreur de parcours.»

«Vous m'apprenez quelque chose», a pour sa part répondu Bernard Dugas, directeur des services éducatifs du secondaire au collège Brébeuf. Puisque le revendeur était un collégien, il a refusé de commenter l'affaire, affolé par le fait qu'une journaliste ait réussi à s'infiltrer au collège.

La surveillance est en effet accrue dans les établissements privés. Et le risque de renvoi plane continuellement sur les élèves. «Il y en a déjà eu quatre ou cinq par année liés à la drogue», affirme la directrice générale du collège Durocher Saint-Lambert, Carmen Poirier.

Conséquence: au privé plus qu'au public, la vente et la consommation de drogue se font en cachette. «Les jeunes du privé consomment tout autant, sinon plus que ceux du public, mais pas nécessairement à l'école, souligne Robert Paris, coordonnateur de l'organisme PACT de rue. C'est normal: les directions mettent les élèves dehors.»

Les adolescents vont donc dans les abribus - celui devant le collège Brébeuf a été rebaptisé l'«abri-buzz». Ou encore dans les parcs avoisinants - sachet vide et bouteille de gouttes pour blanchir les yeux ont été trouvés dans le parc de la Voie maritime, situé à proximité de trois collèges privés de Saint-Lambert, sur la Rive-Sud.

Même si elle est souvent offerte sur place, la plupart des élèves de collèges privés préfèrent acheter leur drogue à l'extérieur. Dans le parc du Mont-Royal, confient-ils, ou encore aux revendeurs qui arpentent les rues avoisinantes, à la sortie des classes ou à l'heure du midi.

C'était le cas au collège Durocher Saint-Lambert, un mardi midi. Deux grands gaillards se tenaient parmi un groupe de quatrième et cinquième secondaires. «Si tu veux quelque chose, c'est eux qu'il faut aller voiR», a glissé Véronique, approuvée par ses copines.

D'autres jeunes de collèges privés de la Rive-Sud ne rentrent pas directement chez eux après l'école. Ils font un arrêt spécial à Greenfield Park, dans un quartier défavorisé, entre les petits bungalows des rues Campbell et Lawrence. Là-bas, des revendeurs font régulièrement le pied de grue.

«On voudrait que personne ne souffre de ça, que personne n'en consomme. Mais qu'est-ce que vous voulez? Empêcher des choses qui sont répandues dans la société... c'est un combat de tous les jours», conclut Vincent Grégoire, du collège Notre-Dame.

Un combat dont il est difficile de cerner l'ampleur. Le Service de police de la Ville de Montréal refuse de divulguer des renseignement sur le nombre de saisies réalisées annuellement dans les écoles. La Fédération des établissements d'enseignement privés ne tient pas de statistiques, tandis que les collèges privés se gardent bien de partager des données pouvant ternir leur réputation.

Tous les prénoms ont été changés pour assurer la confidentialité.

source :
http://www.cyberpresse.ca/article/20071027/CPACTUALITES/710270895/-1/CPACTUALITES

Bon c sur ke c chien, mais ca reste tjrs drole

AMARILLO -- A miniature horse given to a boy with brain cancer by the Make-A-Wish Foundation was killed by a pair of pit bulls who were found roaming in his yard, authorities said.

The 31-inch tall horse, Anniversary, was donated by the foundation to 3-year-old Christian Vasquez in late August.

Christian, who was diagnosed in January with a malignant form of brain cancer, received a pull cart, a blanket, a halter and a bridle set from the foundation on Saturday, said Jelaine Workman, executive director for the foundation's Amarillo chapter.


Two days later, Anniversary was found dead on his property in Pampa by Christian's father, Raul Vasquez.

The father was nearly attacked by the dogs but managed to climb a tree and call 911 on his cell phone.

One of the dogs was captured by authorities and remains in custody at the Pampa animal pound, while the other escaped and remained on the loose, Gray County Sheriff Don Copeland said.

"I was scared to death," said Raul Vasquez, 41. "They killed Anniversary, and I thought they would kill me too."

It was unclear how the dogs entered the property, which is surrounded by a 4 1/2-foot-high fence.

Workman said the foundation won't be able to supply a second horse but was getting calls from residents who wanted to donate money for a new one.

Anniversary cost $1,300, and the foundation included free feed, training and veterinary care for a year in its gift.

"This horse was beautiful," Workman said. "It just makes me angry that people allow their dogs to run on the loose."







Cop Shot in Doughnut Shop Heist DiesPhiladelphia Police Hunt for Suspect who the Officer During a Wednesday Stickup

Philadelphia police investigate the scene of a robbery and shooting at a Dunkin' Donuts in north Philadelphia Wednesday, Oct. 31, 2007. According to police officials, a man shot and killed a Philadelphia police officer who happened upon a doughnut shop robbery, setting off a manhunt by police on foot, on motorcycles and in the air. He was the third officer shot in the city in four days.

3 en quatres jours ca fait beaucoup...

Franc-Parler
La culture de matante
Richard Martineau
Journal de Montréal
12/11/2007 06h03

J'aime bien l'humoriste Dieudonné lorsqu'il est sur scène.

Contrairement à certains critiques qui l'accusent de sombrer dans l'humour raciste, j'ai toujours trouvé ses spectacles drôles et respectueux. Dieudonné ne rit pas d'un groupe religieux en particulier: il rit de tous les groupes religieux. Et il le fait avec intelligence.


Malheureusement, lorsqu'il sort de scène, l'homme a certaines opinions que je trouve douteuses.


C'est son droit le plus strict d'exprimer ces opinions. Et c'est mon droit le plus strict de les critiquer.


Un débat corsé


C'est d'ailleurs ce que j'ai fait de façon assez corsée merci à l'émission Le 3950 qui a été diffusée samedi soir sur les ondes de TV5.


Quand Dieudonné a dit qu'il aurait accepté de rencontrer Hitler s'il avait vécu dans les années 1940, j'ai sursauté.


Quand Dieudonné a dit que TOUS les journalistes qui travaillent dans les médias traditionnels mentent, j'ai répliqué.


Quand Dieudonné a dit que la vérité ne se trouve que sur Internet, j'ai riposté.


Et quand Dieudonné a dit que la liberté d'expression n'existe pas en Occident, j'ai voulu lui prouver le contraire en lâchant un chapelet de vulgarités contre le premier ministre en exercice.


Non parce que je ne respecte pas le premier ministre. Mais parce que je voulais justement montrer à l'humoriste qu'on peut dire n'importe quelle sottise à la télé, même contre l'homme le plus puissant de la province, sans risquer le moindre problème.


Ce qui fut spectaculairement démontré, ma sortie hypervulgaire et de très mauvais goût ayant été diffusée dans son intégralité, au grand bonheur des gens de TV5 qui verront leurs cotes d'écoute décupler à la suite du scandale engendré par l'affaire.


Fou braque


Pour la critique de télé Louise Cousineau, samedi soir, j'ai passé - littéralement - pour un fou. Soit. C'est son opinion.


Mais j'ai eu l'air fou pourquoi, au juste? Parce que j'ai défendu l'intégrité des journalistes professionnels, parce que j'ai fait l'éloge de l'«imputabilité», parce que j'ai dit qu'il était honteux pour une vedette de mettre sa crédibilité au service d'un dictateur, parce que j'ai dénoncé l'anti-américanisme primaire?


Si c'est ça, être fou, madame Cousineau, alors oui, je suis fou. Comme disait le poète, mieux vaut passer pour un fou que passer tout droit.


Il y a des insultes qu'on reçoit comme des éloges. C'est le cas du texte qu'a écrit Louise Cousineau à mon endroit avant-hier dans La Presse.


Je l'ai déjà dit et je le répète: le jour où je compterai madame Cousineau parmi mes fans, je songerai sérieusement à quitter mon métier.


Car elle représente tout ce qui m'ennuie, tout ce que je conchie. La petite culture tiède, plate, inodore, incolore et sans saveur, avec rien qui dépasse, pas un mot plus haut que l'autre, pas un pli.


Une culture de matante qui tripe sur les téléromans poches, les quiz idiots et les films de chiens.


Vive le risque


Je préférerai toujours Guy A. à n'importe quel animateur insipide, Loco Locass à n'importe quel chanteur de charme, Le 3950 à n'importe quel talk-show de plogues.


Et Dieudonné à n'importe quel humoriste qui fait des gags inoffensifs sur la banlieue.


Je préférerai toujours les gens qui risquent de déraper (et qui parfois dérapent) aux matantes...

Laissez-moi tout de suite vous dire que Richard Martineau n'est pas mon humain préféré. Intelligent oui. Mais il a parfois des jugements lapidaires injustifiés dans les opinions qu'il exprime sur tous les sujets.





En septembre 1998, alors qu'il s'apprêtait à inaugurer l'émission de Télé-Québec Les francs-tireurs, il a déclaré à la défunte émission Médias de Radio-Canada: «Si Louise Cousineau aime l'émission, ça va vouloir dire qu'on est dans le champ».

Je n'ai pas croulé sous ce mépris. J'ai même apprécié certaines émissions et je l'ai écrit. Mais le bavardage des mecs entre les reportages m'a toujours déplu. Suffisant à la limite du méprisant.

Tout ça pour vous dire que j'ai gloussé de plaisir hier en regardant Le 3950, le repas-émission de Luck Mervil à l'affiche ce soir à 19h à TV5. Parce que Richard Martineau a fait un fou de lui.

Celui qui l'a poussé à bout est l'humoriste français Dieudonné. D'entrée de jeu, M. Martineau a lancé à Dieudonné: «Maintenant que vous êtes brûlé en France, allez-vous vous établir ici?» Sa femme Sophie Durocher avait été plus diplomate: «Nous avons vu vos deux spectacles et nous avons croulé de rire».

Réponse de Dieudonné: «Je joue en permanence là-bas».

Il n'a jamais été question du menu durant ce repas. Mais on sentait que Dieudonné voulait faire une omelette de Martineau. Il s'est donc arrangé pour le faire mal paraître.

Dieudonné aime l'Internet parce qu'il permet à tout un chacun de s'exprimer, alors que les journalistes, qui doivent s'occuper de leur carrière, tombent dans la pensée unique selon lui. Ce qui limite le débat d'idées.

Sophie Durocher, la femme de Richard Martineau, s'insurge: «Les journalistes sont imputables. Alors que sur l'Internet, tout le monde peut dire n'importe quoi!» Dieudonné en profitera pour lui dire qu'elle ne devrait pas parler de choses qu'elle n'a pas vues.

Sur la Shoah, il traitera Richard de «pornographe mémoriel». Il citera un sociologue israélien qui dénonce «l'industrie de l'Holocauste».

Dieudonné dira qu'on ne peut pas tout dire en Amérique. Ce qui poussera Richard à se ridiculiser. Il scandera: «Jean Charest est un gros trou du cul de merde qui mange le vomi!». Du ton du petit gars de première année. Je ne pense pas que Mme Masson, notre reine de l'étiquette, va approuver de tels propos à table.

Sophie Durocher a quant à elle déclaré: «Jeff Fillion est un porc».

Je vous conseille de regarder ce soir ce débat haut en couleur et de voir comment Dieudonné s'y est pris pour que ses adversaires se ridiculisent eux-mêmes. L'humoriste n'est jamais tombé dans le panneau du gnagnagna facile. Un souper que le couple a dû mal digérer. La pornographie mémorielle! Ah qu'en termes galants ces choses-là sont dites!

Dès leur arrivée chez Luck, on a appris que la grossesse de Sophie va bien. Alors que Radio-Canada avait annoncé ce «scoop» dans son Téléjournal de 18h, Richard et Sophie ont annoncé en primeur à Luck Mervil que ce sera un garçon et qu'il s'appellera Nicolas.

Espérons qu'il ressemblera à sa mère.

Ah ça fait longtemps...


Le Mardi 4 Décembre 2007

Super Pippo a encore frappé

Il y a des choses qui ne changent pas dans la vie et Filippo Inzaghi en est une. Aussi vrai que la première neige paralyse chaque année la métropole montréalaise, le bon vieux Pippo répond toujours présent lors des matchs importants.

C’est cette réalité qui a permis au renard des surfaces milanais de battre le record de Gerd Müller avec son 63e but en Coupes d’Europe mardi soir face au Celtic Glasgow. Il devance maintenant Andrei Shevchenko et Raul de trois réalisations, Ruud van Nistelrooy de sept et Thierry Henry de 11.

Miné par les blessures, je le croyais pourtant au bout du rouleau il y a quelques années. La liste est impressionnante : traumatisme crânien en 2003, claquage au mollet, opération à la cheville gauche, fracture de la main en 2004, tendinite au genou en 2005…

Malgré tout, Pippo a persévéré et a cultivé un art qui a tendance à se perdre : l’opportunisme. Inzaghi est le symbole même du renard des surfaces. Toujours à la limite du hors-jeu, il exploite la moindre erreur, le moindre centimètre carré de liberté. Il sait se faire oublier des défenseurs avant de claquer deux buts en dix minutes.

Inzaghi n’est pas très puissant et pas très technique mais rarement décevant lors des grands rendez-vous*. Comme Rudi Völler, le maître des renards en son temps. Chapeau Pippo !